lundi 7 octobre 2013

Inauguration officielle de Carthage Cement

La cérémonie d’inauguration officielle de Carthage Cement s'est déroulé ce Samedi 5 octobre 2013 à Jebel Ressas à Mornag.Vu l’importance de ce projet de nombreuses personnalités ont assisté à ce rendez-vous dont Ridha Saidi, Ministre auprès du Chef du gouvernement, chargé des affaires économique, Mehdi Jomaa, Ministre de l’industrie et Elyes Fakhfakh, Ministre des Finances...
source: espace manager

Tunisie-ANC : adoption d’un projet de logement social

Les députés de l’Assemblée nationale constituante ont adopté, jeudi 3 octobre 2013, le projet de loi n°40/2013, portant approbation de l'accord de prêt signé le 28 mai 2013 entre le Fonds saoudien pour le développement et le gouvernement, à 107 voix pour, 3 abstentions et aucune voix contre. Le nouveau projet consiste à construire 4000 logements dans 9 gouvernorats, à savoir la Manouba, l'Ariana, Ben Arous, Zaghouan, Nabeul, Sousse, Jendouba, Siliana et Le Kef. Le Fonds saoudien contribue au financement à hauteur de 245 millions de dinars remboursables sur 20 ans avec un taux d'intérêt de 2%.
source:investir en Tunisie

Crédit logement : baisse du taux d’intérêt et après?

L’Institut national de la consommation (INC) a mené une enquête sur les crédits logement, auprès d’un échantillon de 700 personnes. Les résultats publiés en juillet dernier montrent que près de 53% des habitants du Grand-Tunis ont estimé que la baisse du taux d’intérêt n’a pas un impact sur la décision de solliciter un crédit bancaire pour le financement d’un logement. 72% des interviewés ont indiqué que les procédures bancaires et la mensualité prélevée ont un impact sur la décision de recourir à un crédit. Pour 45,5% des personnes enquêtées, le taux d’intérêt appliqué sur les crédits logement est élevé. L’enquête a, aussi, révélé que 52,4% ont estimé que le montant du financement est inadéquat par rapport au coût du logement, bien que 65,3% aient déclaré que la période de remboursement des crédits logement est raisonnable. Toutefois, 47,6% des personnes interrogées estiment que l’apport en fonds propres exigé est élevé, 31% ont estimé que l’exigence d’une garantie est inappropriée et 48% pensent que les procédures d’octroi des crédits sont inadéquates et assez complexes. A noter que 58,3% des personnes interrogées ont financé l’acquisition de leur logement par un crédit bancaire. D’autre part, l’enquête a démontré que 27,9% ne sont pas satisfaits de la qualité de leur logement actuel pour des raisons d’inconfort et d’esthétique, en plus de l’inadéquation du coût du logement par rapport à son état, selon 81,8% des interrogées. En outre, 15% ont exprimé leur volonté de devenir propriétaire de leur propre logement et de changer ainsi leur statut de locataire. Au sujet de la construction, 86,3% des enquêtés estiment que le coût d’acquisition et de construction des terrains est élevé et 37,6% considèrent que la main-d’œuvre spécialisée n’est pas disponible et que son coût est élevé. Pour 31% de l’échantillon, les procédures d’acquisition d’un permis de bâtir sont complexes. A rappeler que le secteur de l’immobilier en Tunisie représente, selon l’INC, 12,6% du PIB et que le secteur du logement représente 23,5% du total des investissements. La Tunisie compte 2,405 millions de logements, dont 83% sont habités, 426 000 vacants et 3000 promoteurs immobiliers.
 source:l'economiste Maghrebin

Enquête : Plus de 86% des habitants du Grand Tunis trouvent élevé le coût d'acquisition de terrains (INC)

L'enquête, dont les résultats ont été présentés en juillet 2013, a été effectuée auprès d'un échantillon de 700 personnes, a expliqué à TAP, Tarek Ben Jazia, directeur des études et des analyses à l'INC. Selon les résultats de l'enquête, 72% des interviewés pensent que les procédures bancaires ainsi que la mensualité prélevée ont un impact sur la décision de recourir un crédit. Pour 45,5% des personnes enquêtées, le taux d'intérêt appliqué sur les crédits logement est élevé. L'enquête a, en outre, révélé que 52,4% des interviewés estiment que le montant de financement est inadéquat par rapport au coût du logement, tandis que 65,3% pensent que la période de remboursement des crédits logement est raisonnable. Les résultats ont montré également que 47,6% des enquêtés considèrent que l'apport en fonds propres exigé est élevé, 31% estiment que la condition de garantie est inappropriée et 48% voient que les procédures d'octroi des crédits sont inadéquates et assez complexes. Ils ont, en plus, dévoilé que 58,3% des personnes interrogées ont financé l'acquisition de leur logement par un crédit bancaire. Sur un autre plan, l'enquête a révélé que 27,9% de l'échantillon ne sont pas satisfaits de la qualité de leur logement actuel pour des raisons d'inconfort et d'esthétique, en plus de l'inadéquation du coût du logement par rapport à son état, selon l'évaluation de la majorité des personnes interrogées ( 81,8%). D'après M. Ben Jazia, 15% des personnes interviewées ont exprimé leur volonté de devenir propriétaire de leur propre logement et de changer ainsi de statut de locataire. Au chapitre de la construction, 86,3% des enquêtés pensent que le coût d'acquisition et de construction des terrains est élevé et 37,6% considèrent que la main-d'œuvre spécialisée n'est pas disponible et que son coût est élevé. Pour 31% de l'échantillon, les procédures d'acquisition d'un permis de bâtir sont complexes, selon les résultats de l'enquête. M. Ben Jazia a fait savoir que le secteur de l'immobilier en Tunisie représente 12,6% du PIB et que le secteur du logement représente 23,5% du total des investissements. La Tunisie compte 2,405 millions de logements dont 83% sont habités et 426 000 vacants et 3000 promoteurs immobiliers, a encore précisé le responsable.
 source:INC

Les tunisiens et le logement

Une enquête effectuée par l’Institut National de la Consommation a révélé que 27,9% des enquêtés ne sont pas satisfaits de la qualité de leur logement et que 86,3 pensent que le coût d’acquisition et de construction des terrains est élevé. Selon les résultats d’une enquête effectuée par l’Institut National de la Consommation (INC), 53% des habitants du Grand Tunis estiment que la baisse du taux d’intérêt n’a pas de réel impact sur la décision de solliciter un crédit bancaire pour le financement d’un logement. L’enquête a démontré que concernant la construction, 86,3% des enquêtés pensent que le coût d’acquisition et de construction des terrains est élevé et 37,6% considèrent que la main-d’œuvre spécialisée n’est pas disponible et que son coût est élevé. Pour 31% de l’échantillon, les procédures d’acquisition d’un permis de bâtir sont complexes. Cette enquête a été effectuée auprès d’un échantillon de 700 personnes, a expliqué à la TAP Tarek Ben Jazia, directeur des études et des analyses à l’INC. Selon les résultats de l’enquête, 72% des interviewés pensent que les procédures bancaires ainsi que la mensualité prélevée ont un impact sur la décision de recourir à un crédit. Pour 45,5% des personnes enquêtées, le taux d’intérêt appliqué sur les crédits logement est élevé. Les résultats de cette enquête ont révélé que 52,4% des interviewés estiment que le montant de financement est inadéquat par rapport au coût du logement, tandis que 65,3% pensent que la période de remboursement des crédits logement est raisonnable. l’échantillon de l’enquête, a aussi révélé que 47,6% des enquêtés considèrent que l’apport en fonds propres exigé est élevé, 31% estiment que la condition de garantie est inappropriée et 48% voient que les procédures d’octroi des crédits sont inadéquates et assez complexes précisant que 58,3% des personnes interrogées ont financé l’acquisition de leur logement par un crédit bancaire. Cette enquête a aussi mis l’accent sur la qualité des logements révélant que 27,9% de l’échantillon ne sont pas satisfaits de la qualité de leur logement actuel pour des raisons d’inconfort et d’esthétique, en plus de l’inadéquation du coût du logement par rapport à son état et cela selon l’évaluation de la majorité des personnes interrogées( 81,8%). Tarek Ben Jazia a déclaré que 15% des personnes interviewées ont exprimé leur volonté de devenir propriétaire de leur propre logement et de changer ainsi de statut de locataire en précisant que le secteur de l’immobilier en Tunisie représente 12,6% du PIB et que le secteur du logement représente 23,5% du total des investissements avec 2,405 millions de logements dont 83% sont habités et 426 000 vacants.
 Source: TAP

Me3marouNA (Notre urbanisme) Le patrimoine de Testour en restauration

Comment, à présent, cette architecture que nous appelons patrimoine — car chargée d´histoire — est-elle perçue par les officiels et les Tunisiens, aujourd´hui?», se demande Nabil Kallala, archéologue et professeur à la Faculté des Sciences humaines et sociales à l´université de Tunis. Il fait partie du projet «Me3marouNA» qui a été développé par le Goethe-Institut à Tunis à l´initiative du ministère de la Culture et de la Sauvegarde du Patrimoine. Le projet est basé sur un échange d´experts tunisiens et allemands ayant pour but l’élaboration de recommandations pour la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine architectural, à l’adresse des ministères concernés. Ces experts ont constaté qu’en Tunisie le patrimoine architectural est souvent associé à des entraves et des obstacles par rapport aux projets d’aménagement du territoire et des travaux publics, et cela plus encore après la révolution. Mais l’immobilisme et les difficultés au niveau de la conservation et de la mise en valeur du patrimoine architectural ne sont pas dus — en tout cas pas uniquement — à une législation trop sévère, mais plutôt à un manque de travail en commun entre experts et citoyens. C’est dans cette situation que le ministre de la Culture a exprimé le souhait auprès du Ministère des Affaires étrangères allemand, en mars 2012, d’un échange tuniso-allemand entre des experts d’horizons divers: architecture, archéologie, histoire, design, création artistique, tourisme, ainsi que des représentants de la société civile et de la politique locale. Valoriser le nord-ouest de la Tunisie, une région méconnue et peu visitée Le projet Me3marouNA met l´accent sur la participation de la population dans la conservation, la restauration et la mise en valeur du patrimoine architectural. «L´idée est de considérer le cadre physique des monuments, mais aussi les habitants. Dougga, le site archéologique, a été vidé de ses habitants jusqu’aux années 1960 pour conserver le site. On considérait qu´il fallait sauvegarder les vestiges et que les habitants qui occupent un site sont une source de dégradation, de destruction», explique Hichem Ksouri, archéologue et architecte enseignant à l´Ecole nationale d´architecture et d´urbanisme (Enau) qui fait partie du groupe d’experts. «On n’a jamais enquêté sur les habitants pour lesquels on a créé de nouvelles villes, on n’a jamais cherché à connaître leur point de vue par rapport à ce patrimoine qui est le leur», ajoute-t-il. L’idée de Me3marouNA est, au contraire, que les habitants deviennent la composante majeure dans la planification et la réalisation de projets concernant le patrimoine architectural, car il est important qu’ils s’identifient à leur patrimoine, qu’ils participent dans l’aménagement du territoire, des sites et des monuments et qu’ils développent le tourisme et d’autres secteurs économiques de la région. «A Mustis, c´était les chômeurs qui veillaient sur le site», se souvient Ksouri de la visite des experts à Mustis en novembre 2012, une ville romaine au Nord-Ouest dans la basse vallée du Medjerda, un des trois sites choisis comme échantillons représentatifs pour les analyses de Me3marouNA. La vallée par laquelle passe le plus long fleuve de la Tunisie abrite des monuments et des sites classés par L´Unesco comme patrimoine culturel mondial, allant de l’antiquité jusqu’à la période coloniale, englobant des antiquités de l’époque romaine et byzantine et une architecture tuniso-andalouse dans des états qui diffèrent énormément. «Le Nord-Ouest de la Tunisie est une région méconnue et peu visitée, en particulier par le flux touristique en provenance des grandes stations balnéaires du nord de la Tunisie. Ce projet mis en relation avec le développement durable est une excellente opportunité pour valoriser cette région dont le littoral est éloigné des grands sites culturels», dit Taher Ghalia, chercheur à l’INP. En plus de Mustis, une ville qui remonte à l’époque de César, les experts ont choisi le village mauresque de Testour construit par des Andalous musulmans chassés d’Espagne au XVIIe siècle, et Aïn Tounga, une ville numido-punico-romaine encore conservée pour l’élaboration de leurs recommandations. Les trois sites pourraient faire partie d´un circuit touristique. Les touristes qui viennent de Dougga pourraient visiter Testour qui se trouve à peine à 30 km du célèbre site inscrit sur la liste du patrimoine mondial de l’Unesco, puis Aïn Tounga et Musti et continuer par la suite vers Le Kef. Mais pour accueillir les visiteurs, il est indispensable que ces sites soient suffisamment conservés, dotés d’explications, et que l´infrastructure nécessaire soit mise en place. L’apport des participants allemands à «Me3marouNA» consiste à contribuer aux recommandations sur la base des expériences qu’ils ont faites non seulement en Tunisie, mais aussi chez eux, dans un contexte culturel différent. Ils ont présenté des exemples allemands à leurs collègues tunisiens lors d’un voyage d’étude en Allemagne en mai 2013, organisé par le Goethe-Institut. «Ce qui m´a impressionné en Allemagne, c´est l´autonomie des musées : les musées appartiennent à l’Etat mais l’Etat n’intervient pas dans leur gestion pour préserver la diversité, d’une part, et la séparation entre la fonction de musée et la recherche scientifique, d’autre part,» a constaté Olfa Saadi, architecte de l’INP. Gestion participative : réparation de l´horloge de Testour Le minaret de la Grande Mosquée de Testour est équipé d’une horloge unique au monde. Ses aiguilles tournent dans le sens inverse d´une montre et les chiffres sont placés l´envers aussi. Malheureusement, cette horloge ne fonctionne plus, le cadran dépourvu de ses aiguilles présente un aspect triste à voir. Recherches faites, il s’avère que la réparation est possible à un prix abordable pour une communauté d’intéressés. «Si chaque habitant de Testour offrait 1 ou 2 dinars, et si l’INP donnait son accord, ce serait faisable» a suggéré la directrice du Goethe-Institut, Christiane Bohrer. Afin d’informer le public de Testour et d’ailleurs sur le projet « Me3marouNA », l’Association de Sauvegarde de la Médina de Testour, la délégation de la ville de Testour et le Goethe-Institut organiseront donc, début novembre, une belle fête à Testour. Il y aura à découvrir ou à redécouvrir cette ville construite par les Andalous fuyants l’Espagne avant 1631, il y aura à boire et à manger, des informations sur le projet «Me3marouNA», et une collecte pour la réparation de l’horloge. Une fois la somme nécessaire disponible, les travaux pourront être réalisés en respectant les consignes pour la préservation du patrimoine. Le projet «Me3marouNA» se terminera par la remise solennelle des recommandations pour la sauvegarde et la mise en valeur du patrimoine architectural élaborées par les 35 experts tunisiens et allemands au Ministère de la Culture et aux autres ministères concernés, le 3 décembre 2013, dans le cadre d’une conférence ouverte au public. Cette conférence sera précédée, le 3 décembre, par une excursion aux trois sites ciblés dans le nord-ouest, Mustis, Aïn Tounga, et Testour. Si vous voulez participer, vous trouverez des informations plus détaillées sur le site internet du Goethe-Institut http://www.goethe.de/ins/tn/tun/fr10067634.htm. Auteur : Dr Astrid Schäfers, Goethe-Institut Tunis Source : La Presse

Le salon des Matériaux de Construction et de l’Immobilier « BATI IMMO »: du 23 au 26 Octobre 2013 à SOUKRA EXPO-Tunis

International Fair for Building Materials and Real Estate organise le salon des Matériaux de Construction et de l’Immobilier « BATI IMMO » et ce du 23 au 26 Octobre 2013 à SOUKRA EXPO-Tunis. Le salon des Matériaux de Construction et de l’Immobilier a pour objectifs : - de proposer aux professionnels et décideurs libyens un espace de présentation et de partenariat, - de mettre en valeur les innovations et les nouveaux procédés des secteurs du bâtiment et de la construction. - de diversifier les sources d’approvisionnement et de promouvoir l’exportation vers la Lybie. - et de favoriser l’essor des relations d’affaires de partenariat et de prestation de service. Qui expose au salon : - Fabricants de produits de construction - Entrepreneurs de bâtiments, d’étanchéité, de peinture, etc… - Matériels de chantiers, génie civil, etc… - Promoteurs immobiliers. - Ingénierie, électricité de bâtiments. - Banques et assurances.

source: Bati immo

La destruction programmée du secteur du bâtiment en Tunisie



Une première lecture du projet de la loi des finances pour l’année 2014 prouve encore une fois que l’administration fiscale est en mal d’inspiration et qu’elle est en rupture totale avec la réalité économique du pays dans son ensemble. L’éventuelle mise en place d’une taxe de 1,5 % sur la valeur réelle des résidences secondaires est une mesure de plus qui ne pourrait qu’anéantir tout un secteur et le renvoyer aux calendes grecques, avec des répercussions immédiates sur tous les secteurs reliés structurellement au bâtiment. Juste pour mémoire, le secteur de bâtiment réalise aujourd’hui en moyenne un chiffre d’affaires de 5 milliards de dinars par an. Il contribue à 7% du PIB tout comme le secteur du tourisme et se place au 4ème rang dans l’économie nationale. Ce secteur dynamique, qui draine 25 % des investissements globaux du pays, emploie environ 40 mille personnes, dont 500 ingénieurs. C’est pour cette raison qu’il faut étudier l’impact d’une telle mesure sur le secteur du bâtiment. Nombreux sont les reproches qu’on peut adresser à une telle mesure. Mais on peut en citer quelques uns : Affaiblir le rendement des investissements immobiliers : la mise en place d’une telle taxe viendrait grever les revenus générés par les investissements réalisés en vue d’acquérir ou de construire une maison secondaire, des investissements alourdis par la flambé des prix des matériaux de construction et de la main d’œuvre. Par ailleurs, tous les signaux font jaillir les prémices d’une spirale inflationniste qui toucherait en premier lieu le secteur du bâtiment notamment après l’annonce de la suppression de la subvention aux tarifs d’électricité et du gaz dont la conséquence directe est un surenchérissement de toutes les composantes nécessaires aux projets de construction. Une mesure inflationniste : cette taxe qui serait appliqués aux propriétaires de maisons secondaires aura des répercussions inflationniste sur le coût du logement en Tunisie pour les locataires dans la mesure où cette taxe viendrait gonflés des loyers déjà exorbitant. Pour donner une idée de l’impact de cette mesure, imaginons une résidence évaluée à 200 mille dinars, en application de ladite taxe, l’Etat engrangerait annuellement 3 mille dinars qui seraient payés par le locataire ! L’appauvrissement du fisc tunisien : imposer une telle taxe réduirait sensiblement les transactions immobilières et entrainerait pour l’Etat un manque à gagner au niveau des droits d’enregistrements. Une mesure qui aura un coût financier : une telle mesure si elle serait adoptée nécessiterait pour son application: • Un recensement du parc immobilier en Tunisie • Son évaluation périodique par des experts confirmés • Une gestion administrative des dossiers au niveau de l’administration fiscale • Un encombrement au niveau des tribunaux pour gérer le contentieux qui opposerait l’administration fiscale au contribuable. Pour tout cela, il est impératif de revoir cette disposition pour préserver le peu qui reste. 


Source :leaders